S’exprimer dans un carnet a beaucoup de bénéfices et ce de façon transversale, c’est à dire aussi bien professionnellement que personnellement . C’est du développement professionnel et personnel. Plus concrètement, cette pratique peut permettre de chercher et de trouver de nouvelles idées de façon très intéressante et stimulante. Ok, mais comment ?
La créativité à la rescousse !
Tout d’abord, je trouve qu’il y a “idées” et “idées”. Je m’explique :
- Certaines sont convenues et plutôt prévisibles.
- D’autres sont plus “décalées” et complexes à trouver. Elles nécessitent de prendre un minimum de temps de réflexion. De se poser. Prendre un carnet peut alors être utile.
Qu’elles appartiennent à la 1ère ou à la 2ème catégorie, les idées font toutes les 2 appels à de la créativité, à des degrés divers. Le plus important, me semble t-il, est qu’elles répondent et qu’elles soient en phase avec un objectif, un projet, un besoin, qu’elles soient donc constructives et pertinentes .
Quand notre idée est “bonne”, en général, nous le sentons. Si nous sommes attentif·ve, c’est dans notre corps que nous le sentons. Il y a comme quelque chose qui nous dit “hum, oui, je le sens bien ce truc, ça me parle !” même si nous ne savons pas forcément toujours pourquoi.
Je vous parle de créativité, oui, oui, de CRÉATIVITÉ ! Je sais que nous avons tendance à imaginer que nous sommes créatif·ve ou que nous ne le sommes pas. Évidemment, il existe des personnes qui ont nourrie, cultivée cette créativité et d’autres pour qui, elle est davantage endormie, étouffée. Alors pour la (ré)activer, il est parfois nécessaire de se bousculer un peu, de sortir des sentiers battus et de s’y autoriser, surtout .
La créativité est une faculté que nous avons tous·tes.
Avec un état d’esprit constructif vers un objectif concret
Quand je suis en quête d’idées (de la 2ème catégorie), j’essaie de me mettre dans un état d’esprit constructif, c’est à dire que je me prépare à ce que ça bouillonne, que ça fuse, que ça parte un peu dans tous les sens. Je m’autorise ce côté un peu bordélique . Dans ma tête et sur le papier. Cela veut aussi dire que si je suis “ronchonchon” et/ou fatiguée, j’évite de chercher des idées car je sais que cela va me demander de l’énergie que je n’ai pas à cet instant t.
Je pense aussi qu’il est vraiment important d’avoir envie de chercher puis de trouver des idées. Si, finalement, je perçois que quelque chose résiste en moi pour différentes raisons, je m’arrête et j’y reviens plus tard !
En plus d’être bien motivée, je reste également vigilante à, un minimum, savoir ce à quoi ces idées vont me servir très concrètement (je définis correctement le sujet) :
- Est-ce que ces idées concernent un thème très large ?
- Ou un sujet plus précis ?
Je me demande également quelle est la forme que j’aimerai que prennent ces idées : un tableau ? une liste d’actions à mener ? …
… et quelques techniques !
Il existe de multiples techniques (une infinité même !) pour chercher et trouver des idées. Certaines sont plus ou moins adaptées selon les situations. Je suis justement là pour vous guider et vous les transmettre !
Aujourd’hui, j’aborde avec vous 3 points à avoir en tête . En cherchant des idées, vous allez :
-
- Passer d’abord par une phase de divergence en utilisant par exemple la technique du brainstorming (ou remue-méninges en français). C’est exactement ce que je décrivais juste au dessus. C’est le moment de la profusion, “ça part dans tous les sens !” comme on dit. C’est là qu’il est vraiment intéressant de libérer votre créativité. Écrivez tout ce qui vous passe par la tête à propos de votre thème. Autorisez-vous à être fantaisiste ! Autrement dit, c’est le moment de vous lâcher !
- Puis enchaîner par une phase de convergence. Le but n’est pas de rester avec 150 idées sur les bras (dans un carnet ou sur une feuille !). Il va donc falloir choisir parmi toutes celles mises en évidence. Choisir, c’est préférer et ce n’est pas toujours le plus facile. Là, je vous conseille de faire plutôt appel à votre côté rationnel . “Ok, ça c’est possible concrètement ; ça non, car vu mes contraintes, c’est très difficile à réaliser ou à mettre en place”.
- Pendant ces 2 phases, il peut être très efficace et pertinent de faire appel à un ami. Voire 2 amis. Voire vos collègues. C’est l’intelligence collective. Rien de tel que de multiplier les points de vue et les idées pour enrichir le débat ! Attention : mobiliser l’intelligence collective ne s’improvise pas. Cela peut très vite tourner à la foire d’empoigne et/ou aux règlement de comptes si c’est mal préparé !!!
- Passer d’abord par une phase de divergence en utilisant par exemple la technique du brainstorming (ou remue-méninges en français). C’est exactement ce que je décrivais juste au dessus. C’est le moment de la profusion, “ça part dans tous les sens !” comme on dit. C’est là qu’il est vraiment intéressant de libérer votre créativité. Écrivez tout ce qui vous passe par la tête à propos de votre thème. Autorisez-vous à être fantaisiste ! Autrement dit, c’est le moment de vous lâcher !
Chercher et trouver des idées, seul·e et/ou collectivement, c’est un bon début.
Les mettre en œuvre, c’est l’étape suivante.
C’est pour ça qu’au delà de vous accompagner et de vous aider à trouver des idées avec une approche créative, je vous incite, très régulièrement, à passer à l’action.
Dans votre vie concrète .
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Crédit photo : Co(w) et Compagnie